
Tony Parker et ses invités se livrent à cœur ouvert à travers ce podcast afin de permettre à leurs auditeurs de découvrir de nouvelles facettes de leurs histoires personnelles. Dans ces entretiens au long cours réunissant de grands noms du sport, mais aussi de la musique, du cinéma, ou de la vie publique, le champion et ses invités dévoilent leurs parcours de vie, leurs faces cachées, leurs engagements et tout ce qui les a construits dans leurs destins hors du commun.
Spotify Studios disperse quelques bribes d'infos dans les médias, comme des paillettes sur un carton d'invitation, pour écouter ce podcast, ce que nous vous conseillons !
Dans cet ultime opus de la série, Damso dévoile des anecdotes avec son célèbre franc-parler : "J’avais un ami qui kiffait le basket, j’ai commencé à suivre et c’est marrant : toi je te détestais de fou parce que tu battais toutes mes équipes. En grandissant, j’ai commencé à réaliser que tu étais français, que c’était inspirant.”
Et d’autres révélations sont plus intimes : “J’ai écrit très tôt, vers 7-8 ans; j’écrivais des histoires mais comme mon écriture n’était pas ouf, c’était bien parce qu’on ne pouvait pas lire ce que j’écrivais. Je faisais exprès de mal écrire comme ça si on tombait dessus on n’allait pas voir. ”
Et puis, la réflexion ouvre des portes : “Pendant ces 2 ans, je me suis retiré pour encore plus travailler. À partir du moment où je peux explorer plus de choses, je vais m’enfermer. C’est comme un explorateur qui se rend compte que là il a fait le tour mais qu’il voit que c‘est infini. Comme la Nasa : il faut de nouveaux outils pour pouvoir aller ailleurs, ok on a été sur Mars, là on veut là ailleurs, et ainsi de suite : ça ne s’arrête jamais. On est dans l’infini aussi dans la musique, il faut juste aller encore plus loin.”
Tony parker et Damso : une conclusion magistrale à cette grande série.
Dans cet ultime opus de la série, Damso dévoile des anecdotes avec son célèbre franc-parler : "J’avais un ami qui kiffait le basket, j’ai commencé à suivre et c’est marrant : toi je te détestais de fou parce que tu battais toutes mes équipes. En grandissant, j’ai commencé à réaliser que tu étais français, que c’était inspirant.”
Et d’autres révélations sont plus intimes : “J’ai écrit très tôt, vers 7-8 ans; j’écrivais des histoires mais comme mon écriture n’était pas ouf, c’était bien parce qu’on ne pouvait pas lire ce que j’écrivais. Je faisais exprès de mal écrire comme ça si on tombait dessus on n’allait pas voir. ”
Et puis, la réflexion ouvre des portes : “Pendant ces 2 ans, je me suis retiré pour encore plus travailler. À partir du moment où je peux explorer plus de choses, je vais m’enfermer. C’est comme un explorateur qui se rend compte que là il a fait le tour mais qu’il voit que c‘est infini. Comme la Nasa : il faut de nouveaux outils pour pouvoir aller ailleurs, ok on a été sur Mars, là on veut là ailleurs, et ainsi de suite : ça ne s’arrête jamais. On est dans l’infini aussi dans la musique, il faut juste aller encore plus loin.”
Tony parker et Damso : une conclusion magistrale à cette grande série.
Tony Parker, Le Podcast : prenez le temps d'écouter la série complète