
Extrait : tableau "La Naissance de Vénus" - Sandro Botticelli
Dans les publicités sur la dépilation, les femmes, sourire aux lèvres, rasent des jambes (et toute autre partie du corps) sans poils. Considérés comme sales dans notre société, ils sont bannis de toutes représentations.
« La publicité vend bien plus qu’uniquement des produits. Elle vend des valeurs, des images, des concepts d’amour, de sexualité, de romantisme, de réussite et surtout de normalité » explique la spécialiste des médias Jean Kilbourne (oratrice, écrivaine, cinéaste et militante américaine connue pour son travail sur l'image des femmes dans la publicité et ses études critiques sur la publicité pour l'alcool et le tabac).
Dans ce nouvel épisode de Sororité, l'équipe de Ouest France tente de comprendre pour quelles raisons la publicité, qui expose des corps féminins glabres, entretient cet idéal de beauté, en échangeant avec Léa Taieb et Juliette Lenrouilly, toutes deux journalistes. Seize minutes au poil !
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« La publicité vend bien plus qu’uniquement des produits. Elle vend des valeurs, des images, des concepts d’amour, de sexualité, de romantisme, de réussite et surtout de normalité » explique la spécialiste des médias Jean Kilbourne (oratrice, écrivaine, cinéaste et militante américaine connue pour son travail sur l'image des femmes dans la publicité et ses études critiques sur la publicité pour l'alcool et le tabac).
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