Encore en 2021, les femmes ont dû travailler 55 jours de plus pour atteindre le même salaire que les hommes. Un écart mis en évidence par la journée "Equal Pay Day" le 21 mars dernier...
Pourquoi les femmes se sentent-elles moins légitimes à parler d’argent, à le gérer et surtout à le posséder ? C’est la question posée par le podcast Osons l’Oseille, lancé par ViveS - le média digital dédié aux femmes du groupe Bayard. Il interroge le tabou de l’argent chez les femmes et cherche à le décomplexifier en donnant la parole à des sociologues, des historiennes et des femmes qui ont brisé ce tabou, transformant ainsi leur vie personnelle et professionnelle.
Pourquoi axer ce podcast sur la situation des femmes ? Car elles sont les premières à pâtir du système actuel, tant leur rapport à l’argent est le résultat d’un long processus historique qui les a écartées des affaires économiques, aussi bien au niveau culturel que juridique, comme le raconte la journaliste Valérie Lion.
Valérie Lion imagine alors ce podcast dans une continuité avec la thèse partagée par Simone de Beauvoir dans Le Deuxième Sexe (1949) : « Il n’y a qu’un travail autonome qui puisse assurer à la femme une authentique autonomie. ». Camille Maestracci, chargée de l’écriture et de la production de ce podcast, écrit à son tour que c’est « parce que la construction d’une véritable indépendance économique passe forcément par une éducation financière, [qu']il faut aider les femmes à changer de posture par rapport à l’argent ».
Quels sont les ressorts de ce tabou et comment les désamorcer afin d’atteindre une réelle autonomie financière ? Réponse(s) dans Osons l’Oseille, un podcast de ViveS, produit par Louie Créative, à écouter ICI !
Pourquoi les femmes se sentent-elles moins légitimes à parler d’argent, à le gérer et surtout à le posséder ? C’est la question posée par le podcast Osons l’Oseille, lancé par ViveS - le média digital dédié aux femmes du groupe Bayard. Il interroge le tabou de l’argent chez les femmes et cherche à le décomplexifier en donnant la parole à des sociologues, des historiennes et des femmes qui ont brisé ce tabou, transformant ainsi leur vie personnelle et professionnelle.
Pourquoi axer ce podcast sur la situation des femmes ? Car elles sont les premières à pâtir du système actuel, tant leur rapport à l’argent est le résultat d’un long processus historique qui les a écartées des affaires économiques, aussi bien au niveau culturel que juridique, comme le raconte la journaliste Valérie Lion.
Valérie Lion imagine alors ce podcast dans une continuité avec la thèse partagée par Simone de Beauvoir dans Le Deuxième Sexe (1949) : « Il n’y a qu’un travail autonome qui puisse assurer à la femme une authentique autonomie. ». Camille Maestracci, chargée de l’écriture et de la production de ce podcast, écrit à son tour que c’est « parce que la construction d’une véritable indépendance économique passe forcément par une éducation financière, [qu']il faut aider les femmes à changer de posture par rapport à l’argent ».
Quels sont les ressorts de ce tabou et comment les désamorcer afin d’atteindre une réelle autonomie financière ? Réponse(s) dans Osons l’Oseille, un podcast de ViveS, produit par Louie Créative, à écouter ICI !