Le sujet reste difficile à aborder en famille. Un sentiment de culpabilité s'empare souvent des personnes qui transmettent la mutation génétique à leur descendance.
Or, il est essentiel de libérer cette parole pour prévenir les personnes à risque : on peut ainsi mieux assurer le diagnostic précoce en cas de cancer et proposer un protocole médical plus adapté ou différemment orienté par rapport à une pathologie découverte tardivement.
Afin d’informer et de sensibiliser sur les cancers liés à la mutation des gènes BRCA, les laboratoires AstraZeneca et MSD reviennent avec une nouvelle saison du podcast #BRCAJenParle, avec la participation de trois associations de patients : BRCA France, IMAGYN et GénétiCancer.
Or, il est essentiel de libérer cette parole pour prévenir les personnes à risque : on peut ainsi mieux assurer le diagnostic précoce en cas de cancer et proposer un protocole médical plus adapté ou différemment orienté par rapport à une pathologie découverte tardivement.
Afin d’informer et de sensibiliser sur les cancers liés à la mutation des gènes BRCA, les laboratoires AstraZeneca et MSD reviennent avec une nouvelle saison du podcast #BRCAJenParle, avec la participation de trois associations de patients : BRCA France, IMAGYN et GénétiCancer.
Dans l'épisode ci-dessous, Amélie, 33 ans est porteuse du gène BRCA1. Elle l’a su grâce à sa mère qui elle-même l’a appris suite à un cancer des ovaires, avec un risque important de transmettre ce gène à ses enfants. Son parcours est particulier puisqu'elle a d'abord subi une mastectomie prophylactique pour se protéger mais a développé, malgré cette intervention préventive, un cancer du sein triple négatif. Amélie partage une histoire de courage qui relie 2 générations.
Le podcast est disponible ICI et sur plusieurs plateformes d'écoute.
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